Après environ 18 mois, une étude approfondie a maintenant prouvé scientifiquement ce qui a été continuellement requis par l'ODEC. La conclusion de l'analyse : nous ne critiquons que quelques points.
Vous souhaitez accroître la visibilité de votre entreprise, promouvoir des produits à d'autres zones de clientèle ou trouver efficacement de nouveaux collaborateurs qualifiés ? Notre statut de membre bienfaiteur pour les entreprises offre des opportunités que vous pouvez utiliser.
Il faut mettre davantage l'accent sur l'enseignement et la formation professionnels supérieurs. L'étude du CES montre que les connaissances sur l'enseignement et la formation professionnels supérieurs sont encore insuffisantes et que ses valeurs doivent être mieux connues. L'étude est intéressante pour les personnes qui s'engagent dans l'enseignement et la formation professionnels supérieurs ou qui veulent poursuivre leurs études.
La crise du Covid-19 a généré des défis sans précédent pour l’économie avec ses entreprises et leurs collaborateurs. Quasiment personne n’était préparé à ces nouvelles exigences. Cependant, les gens concernés se sont montrés étonnamment flexibles, comme le prouvent les résultats de l’enquête de l’ODEC.
Depuis avril 2019, nous tenons nos membres et nos lecteurs au courant des développements du projet fédéral « Positionnement ES ». Avec la participation du groupe d'accompagnement, dans lequel l'ODEC est représentée, les bases ont été rassemblées et le cadre de travail pour la suite de la procédure ont été créés. Les mesures possibles sont connues et classées par ordre de priorité. Nous sommes curieux de voir les actions qui en sortiront et si nos revendications seront mises en œuvre.
Les écoles supérieures (ES) constituent une voie importante de certification du degré tertiaire pour les titulaires d’un certificat fédéral de capacité (CFC). Près de 80% des entrants en ES détiennent un CFC et 10% une maturité professionnelle. Ces écoles offrent aussi la possibilité de faire reconnaître des compétences acquises précédemment, ce qui permet d’effectuer la formation plus rapidement. Cette opportunité est utilisée par 14% des entrants en ES. Les taux de réussite y sont élevés, avec plus de 80% des entrants qui obtiennent un diplôme, selon une étude réalisée par l’Office fédéral de la statistique (OFS).
La numérisation détruit les emplois. Mais elle peut aussi avoir un aspect positif et accroître la satisfaction au travail. Dans ce document, nous analysons donc l'importance relative des différents canaux par lesquels la numérisation peut influencer la satisfaction professionnelle.
92% des diplômés ES qui ont terminé leurs études il y a plus de dix ans ont atteint leur objectif. 677 personnes ont participé à notre dernière enquête et fourni des résultats impressionnants.
Lors de débats publics, la numérisation est souvent mentionnée comme un facteur qui influence fortement le marché du travail. De nombreuses discussions portent sur les professions dans lesquelles la numérisation pourrait mettre en danger les emplois existants. En revanche, l’effet de la numérisation sur la qualité des emplois existants est relativement peu pris en compte. Dans cet article, nous examinons donc comment la numérisation modifie la routine professionnelle des diplômés ES.
rois aspects nous confortent que le domaine ES trouvera enfin sa vraie valeur dans l’économie, la politique et la société, après avoir été tant négligé: premièrement, il y a une large implication des personnes concernées; deuxièmement, les résultats de notre étude à grande échelle sont très homogènes et montrent clairement ce qui doit être changé; troisièmement, et non des moindres, le mandat de nos politiciens tiré de la motion impose clairement de positionner correctement le domaine ES.